Une acheteuse du MAI, Miss France 2021 ?
Le 29 août 2020, la région Poitou-Charentes a élu sa nouvelle reine de beauté, Justine Dubois. Âgée de 24 ans, cette étudiante originaire d'Angoulême qui sera diplômée du MAI en avril prochain, a remporté la couronne.
« Aujourd’hui je rentre dans la famille des miss Poitou-Charentes et quel honneur ! J’espère amener ma région le plus loin possible dans l’aventure @missfranceoff. »
Justine Dubois a intégré le Mastère Spécialisé en Management des Achats Internationaux & Innovation du MAI en septembre 2019 avec pour ambition de devenir chef de projet dans le domaine de la Haute couture.
Après avoir validé son stage en tant qu’acheteuse auprès du leader pharmaceutique Roche, elle sera diplômée dans quelques mois et rejoindra le réseau de plus de 4 000 diplômés, du MAI, seule communauté en Europe regroupant autant de Managers Achats.
« J’attends de recevoir mon diplôme de Master 2 en achats internationaux. Cela débouche sur les métiers de négociateurs et d'acheteurs auprès des fournisseurs, de toute la logistique à réaliser en amont d'une vente. J'ai très longtemps cherché ce que j'aimerais faire dans la vie. J'aime les voyages et je ne voulais pas faire un métier dont les tâches sont redondantes. Ce métier d'acheteur est très polyvalent et implique beaucoup de relations humaines donc c'est tout ce qui me correspond.»
En effet la fonction achat a fortement évoluée comme le précise Gordon Crichton, directeur du MAI : « La fonction Achats revêt aujourd’hui une très forte composante stratégique, dont les maîtres mots sont l’innovation et le speed-to-market. Notre diplôme en achat garantit précisément des compétences de management (étroitement liées au relationnel et à la personnalité) ainsi que de solides capacités en culture et techniques d’achat dans un environnement international, essentielles pour mener à bien les nouvelles missions assignées aux responsables achats d’aujourd’hui. »
« Se décrivant comme tolérante et combative, joyeuse et positive, elle veut véhiculer lors du concours l'image d'une femme forte. «Miss France c'est mon rêve de petite fille», dit-elle encore. «Si je suis élue, j’aimerais prendre mon rôle comme une sorte d’évasion pour les Français. Être Miss France au temps du Covid représente certes moins d’événements mais quoi de mieux que ce temps libre pour se rapprocher "virtuellement" des Français ? (...) Être Miss France au temps du Covid, c’est avant tout être Miss France mais tout en prenant les précautions nécessaires liées au virus. Il ne changera pas ce rêve de devenir l’ambassadrice des Français», a-t-elle conclu. »
Extrait de l’article de Paris Match
Ses collègues et l’équipe pédagogique du MAI de KEDGE la soutiennent dans cette aventure.
