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IMR - Management des Risques

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2e

au classement national Eduniversal 2024 - catégorie Gestion des Risques

5e

au classement Best Masters 2024-Catégorie Risk Management

IMR - Management des Risques

Créé il y a 34 ans, l’Institut de Management des risques de KEDGE forme des professionnels hautement qualifiés en risk management à travers des formations bénéficiant d'une remarquable notoriété.
Partenaire de l’AMRAE, l’association professionnelle française des risks managers et en lien avec la FERMA, l’association internationale, l’IMR, délivre une formation unique en gestion globale des risques et assure une employabilité forte à ses diplômés puisque 100% trouvent un emploi dans les trois mois qui suivent leur diplôme.

Formations disponibles

Classées 2e meilleures formations françaises en gestion globale des risques, au classement national Eduniversal 2024 catégorie gestion des risques, les formations en management des risques de l'IMR forment des professionnels hautement qualifiés en risk management, avec une vision responsable et engagée.
Accessibles à Bac+3, Bac+4, Bac+5, et dispensées en alternance ou rythme alterné sur le campus de KEDGE Bordeaux, découvrez la formation qui vous correspond :

Titre RNCP Niveau 7

IMR-Manager en gestion globale des risques

Accès à partir de Bac+3 - Bac+4

Rythme Alternance

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Mastère Spécialisé ®

IMR-Management des risques

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Qu’est-ce que le management des risques ?

Avec le renforcement des réglementations, le management des risques est devenu une fonction stratégique pour toutes les organisations et ce tous secteurs confondus. La gestion des risques est un secteur d'anticipation et de maîtrise des situations à risques qui requière des professionnels capables d'anticiper et de gérer de nombreuses situations, de véritables experts de l’analyse et de très bons communicants.

Le secteur de la gestion des risques est un secteur attractif, en pleine croissance, et les carrières en management du risque sont en plein essor avec de nombreux métiers pour aider les entreprises à se protéger des risques : audit, compliance, veille.

Aujourd’hui les risques sont pluriels et évolutifs. L'interruption d'activité, la pandémie et les incidents cyber sont les trois principaux risques d'entreprise, tous étroitement liés, en 2021. Les évolutions de marchés, les évolutions macroéconomiques et la violence politique représentent des risques en augmentation.

Comment définir le risque ?

Le risque est une menace, un danger éventuel qu’il faut identifier de manière très précise. Sa définition est intrinsèquement liée à la potentialité qu’il se produise, à sa probabilité, ce qui fait qu’il est craint. La gravité du risque se détermine sur l’importance des conséquences et sur son acceptabilité. La question qui se pose alors est : est-ce que la probabilité et la gravité de ce risque sont de nature à le rendre acceptable ?

Les différents types de risques

Il y a trois types de risques à appréhender et à surveiller :
-   le risque stratégique : il désigne le risque qui affecte une stratégie de gestion de l'entreprise ou les objectifs stratégiques. Ce type de risque peut-être des incertitudes ou des opportunités et il correspond généralement aux problèmes clés qui préoccupe la direction, la gouvernance.
-   les risques opérationnels : ils impactent la capacité d’une organisation à atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés, sa capacité de production ou bien sa force commerciale.
-   le risque environnemental : ce risque est d’origine externe. Il est lié à un changement de conjoncture qui peut être de plusieurs ordres : politique, juridique, économique, social, et même écologique.

La gestion des risques en trois étapes

Les experts du management des risques procèdent en général en trois étapes.

L’identification des risques : Un gestionnaire des risques commence par analyser l’ensemble des facteurs susceptibles de constituer un risque pour l’organisation/entreprise. Cela nécessite un audit interne complet pour jauger la situation interne puis une analyse de l’environnement via une étude précise du marché. Cette étape permet d’identifier à la fois la nature du risque, mais aussi de le classer en fonction de la typologie risques stratégiques, risques opérationnels et risques environnementaux.
L’évaluation de la gravité des risques : Cette évaluation se fait en fonction d’un rapport probabilité/gravité qui conduit à un classement des différents types de risques identifiés sur une échelle de 1 à 4. Il s’agit de créer une matrice de où on attribue une note à chaque risque avec l’aide des tableaux des normes ISO élaborés dans différents domaines. Les experts du risque réalisent ensuite une analyse plus profonde sur la criticité inhérente et sur la criticité résiduelle, c’est-à-dire le risque subsistant après le traitement et détermine les risques prioritaires dans le traitement.
La maîtrise du risque : Il s’agit de l’étape la plus importante car cette dernière va donner lieu à la mise en place de dispositifs préventifs au sein de l’organisation. Quel que soit le secteur d’activité, il existe des mesures préventives qui incluent la mise en place de processus à suivre pour limiter le risque de survenance d’un problème tels que des contrôles de qualité, des certifications, des actions de formation des employés. Dans le cas où les mesures préventives n’ont pas suffi à proscrire un risque, il s’agit alors de mettre en place des actions correctives pour en atténuer les conséquences. Enfin les actions palliatives transfèrent le risque vers un tiers. C’est le rôle par exemple des assurances par exemple.

Travailler dans le secteur de la gestion des risques

Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent rien laisser au hasard pour développer leur activité. Pour être performantes sur le marché, elles doivent développer différentes stratégies : commerciale, politique, opérationnelle… et font appel à des cabinets d’experts ou des consultants pour du management des risques.

Devenir un expert en management des risques nécessite l’acquisition de compétences pointues et transversales afin d’être en capacité d’accompagner la prise de décision en tenant compte des potentialités, des opportunités et des risques inhérents à toutes situations.

Un gestionnaire des risques intervient dans des domaines variés et auprès de différentes structures. Il peut être amené à conseiller des collectivités locales ou les services de l’État sur différents types de projets tels que : aménagement, urbanisme, politique, santé, transport…. Mais le plus souvent il intervient auprès des entreprises et notamment les grandes et très grandes entreprises. Cependant, les sociétés de taille moyenne ont également recours aujourd’hui à des consultants indépendants pour obtenir des conseils en stratégie et en matière de finance.

A l’issue d’un Bac+5 ou +6 spécialisé en gestion des risques, les diplômés peuvent prétendre à différentes fonctions : Risk Manager, Gestionnaire des risques, Consultant, Directeur risques et assurances , Directeur audit et contrôle interne, Supply Chain Risk Manager, Ingénieur prévention, Inspecteur financier, Souscripteur grands risques, Responsable indemnisation, Corporate Risk Manager… et cela dans des secteurs variés et des organismes divers : banque, finance, industrie, service de l’État ou des collectivités….

Qu’est-ce qu’un risk manager ?

Au sein d’une organisation, le risk manager appréhende globalement les risques. Il s’occupe de la définition, du déploiement et de la gestion des dispositifs de management des risques, afin de solutionner les situations à risque que l’entreprise est susceptible de connaitre ou qu’elle est en train de rencontrer.

Ses missions constituent à :
-   identifier les points de vulnérabilité d’une organisation. Pour cela le risk manager conseille les décisionnaires et met au point une stratégie pour éviter une situation dommageable en déterminant les risques à assurer, les garanties à souscrire… ;
-   gérer les situations de risques ;
-   assurer une bonne reprise du fonctionnement normal de l’entreprise à la sortie d’un sinistre.

La gestion du risque est donc centrée sur l'identification, l’évaluation et le traitement des risques. Elle a pour objectif d'ajouter le maximum de valeur durable à chaque activité de l'organisation et mobilise pour cela la compréhension des aléas positifs ou négatifs qui dérivent de tous les facteurs qui peuvent affecter l'organisation.

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FRANCE : Loraine SOKOU

Conseillère formation

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