J'ai choisi ce programme car, après l'obtention de ma licence, j'ai souhaité me spécialiser dans les subtilités de la logistique et les risques associés. Ce cursus m'a fourni l'expertise que je recherchais. Actuellement, je suis responsable national QHSE et de la RSE chez Bolloré Logistics au Canada, où je travaille depuis cinq ans. Venant d'un MSc avec une forte orientation vers la logistique, ce poste au sein du département QHSE offre une perspective différente sur ces opérations, et reflète la polyvalence offerte par le programme. Mon objectif est de continuer à évoluer au sein de l'entreprise, en particulier au niveau régional. Actuellement, je travaille au niveau national, mais au sein de ce groupe, de nombreuses opportunités de croissance existent. Je pense qu'il est important de montrer son authenticité et de mettre l'accent sur les compétences relationnelles, car l'industrie de la logistique est une véritable communauté, où une bonne intelligence émotionnelle est clé.

Lors de ma licence en Civilisation et Langue française (bac+4) à l’Université de Sylviculture du Sud-Ouest à Kunming, Chine j’ai eu l’opportunité de réaliser un stage à la Poste de Chine (partenaire de Dongfeng Peugeot) à Wuhan. J’ai participé à la distribution de pièces détachées dans toute la Chine. Cette expérience particulièrement intéressante m’a fait comprendre l’importance de la 3PL. La coopération entre Dongfeng Peugeot et la Poste de Chine permet de déléguer une partie du stockage des pièces à la Poste et donc de limiter les coûts de transport et de simplifier la logistique. Le transport et la logistique jouent un rôle de plus en plus important dans le commerce France-Chine. Passionné par les échanges internationaux, j’ai décidé de continuer mes études au sein du MSc International Trade & Logistics. Grâce à ce programme, j’ai fait connaissance avec et des professeurs et des collègues internationaux qui ont facilité mon intégration dans des compagnies logistiques. J’ai effectué mon stage de 5 mois au sein de DB SCHENKER FRANCE, entreprise de commissionnaires de transport, plus précisément dans une agence basée à l’aéroport de Marignane, spécialisée dans le fret aérien. Mes missions sont les suivantes : pré-acheminement de marchandise, réservation auprès des compagnies aériens, ouverture de dossier, douane, tracking des vols etc. Aujourd’hui je suis responsable de Supply chain/Informatique au sein de OPPO MAROC, fabricant de smartphone. Les notes que j’ai prises, et les dossiers donnés par mes professeurs pendant ce programme, m’ont beaucoup aidé. Ce programme est à la fois théorique et professionnel.

La formation est très complète avec une spécificité dans le maritime tout en conservant des cours en lien avec la logistique et le transport (gestion d’entrepôt, douane, droit du transport multimodal etc.). Cela m’a permis d’acquérir une vision de la logistique et du transport dans toute sa globalité. De plus 90% des cours sont en anglais. Dans ma promotion, il y avait un mélange de culture important et j’ai pu travailler notamment avec des étudiants sénégalais, indiens, chinois, brésiliens. L’apprentissage des termes techniques de la logistique et du transport ainsi que que la multiculturalité sont les atouts qui m’ont fait opter pour cette formation. Avant de rejoindre le Master, mon parcours professionnel n’était pas spécifiquement centré dans le domaine de la logistique. J’ai fait un stage chez APPA, une entreprise commercialisant du matériel pour boulangerie pâtisserie en tant que commercial. Ensuite un stage au sein de l’IKTI, basé à New York, qui est un institut de médecine douce au cours duquel j’étais chargé du développement du portail client de l’entreprise. J’ai enfin travaillé en tant qu’employé logistique au sein de Kuehne and Nagel durant tout mon parcours post bac afin de financer mes études, et c’est ce qui m’a fait apprécier la logistique. Mon stage de Master 2 au sein de KEDGE, a été plutôt atypique. En effet, j’ai d’abord effectué un premier stage chez Panzani, dans un entrepôt de stock. J’étais chargé d’un projet d’optimisation des flux. J’ai ensuite fait un second stage au sein de Sanofi Aventis au sein du département « sous-traitance pharma Europe ». J’étais alors en charge de l’optimisation des stocks pour l’ensemble du portefeuille de mon équipe. L’objectif était d’être dans le stock policy de l’entreprise en évitant les « overstocks » ainsi que les ruptures. Suite à mon stage, Sanofi m’a ensuite proposé un contrat de responsable logistique junior. On m’a donc confié un portefeuille de produits fabriqués auprès de sous-traitants internationaux. Mon travail est de coordonner les flux de matières premières et de produits finis du portefeuille avec pour objectif l’optimisation des stocks. Mes missions consistent en : - l’élaboration des plans de productions - manager la relation avec le sous-traitant - piloter le niveau de stock - participer à des projets transverses (cession de produit, lancement ou arrêt de production, gestion de crise) Je garde de très bons souvenirs de mon année en MSc. Les nombreux travaux de groupe m’ont permis d’apprendre la bonne manière de travailler dans une équipe. Les soutenances de projet sont des cas très proches du réel et que l’on pourrait rencontrer dans notre vie professionnelle. La visite du port de Fos sur Mer a été très intéressante également tout comme les nombreuses conférences tout au long de l’année.

Je souhaitais compléter ma formation commerciale par un 3ème cycle tourné vers l’international. J’ai choisi le MSc parce qu’il était reconnu par l’état au niveau 1 de l’enseignement supérieur, et que c’était à l’époque le seul en France à proposer un enseignement de ce niveau dans ce domaine, dispensé en grande partie par des professionnels. J’ai été aussi attirée par la partie « mission à l’étranger », plus riche qu’un stage en entreprise, proposée par la formation. A la suite de mon diplôme, fin 1981 j’ai été recrutée par le CSTM en tant que responsable pédagogique, pour suivre et orienter les participants dans leur cursus pédagogique et leur mission, recruter et accompagner les intervenants. Le CSTM est devenu le CSTI, puis s’est élargi à la logistique. J'ai été recrutée par Syndicat des Transitaires de Marseille, que j’ai dirigé pendant 7 ans. En 1996, à la faveur d’un rapprochement de plusieurs structures associatives, j’ai pris la direction de l’UMF, la fédération de l’ensemble des professions portuaires ; poste que j’occupe depuis lors. Sans le MSc, je n’aurais jamais pu avoir les compétences nécessaires pour intégrer le monde maritimo-portuaire marseillais et arriver à ce poste. La mission à l’étranger a été également très formatrice car c’est une vraie expérience sur le terrain. Je suis actuellement Secrétaire Général de l’UMF, et des associations STM, AACN, et CMAF. Outre les aspects administratifs et de gestion de ces associations, je m’occupe plus particulièrement des relations avec les présidents, de certains dossiers importants (lobbying, promotion de la place portuaire, informatique portuaire). J’ai un rôle de représentation de la communauté portuaire vis à vis des administrations, collectivités locales et pouvoirs publics. Je m’attache tout particulièrement à l’animation des professions et à la dynamique de associations, qui doivent répondre aux attentes des professionnels que nous représentons. Je garde un excellent souvenir de cette formation, très professionnelle et enrichissante, et très conviviale. Nous étions très encadrés et suivis par une équipe pédagogique très complète et professionnelle. J’ai toujours en tête la plupart des cours dispensés, qui me servent encore au quotidien : les cours de droit maritime qui ont structuré mes connaissances juridiques sur les métiers du transport maritime, de Douane, administration incontournable dans le cadre des échanges internationaux, anglais, langue de l’international et du shipping…

« Les conseillers du commerce extérieurs de la France sont fiers d’accompagner ce MSc considéré comme le leader français de la formation en commerce international avec sa spécificité maritime. Il accueille des étudiants venus du monde entier grâce notamment à sa formation assurée en majeure partie en anglais. Les intervenants CCEF sont tous des professionnels qui opèrent chaque jour sur les marchés internationaux. Ils ont grand plaisir à transmettre leur savoir faire aux futurs dirigeants du commerce international, du transport maritime et de la logistique pour lesquels Marseille occupe une place de premier choix.»

Contrairement aux autres formations trop spécialisées, je souhaitais avoir une formation globalisante autant dans la logistique que la supply-chain et le transport. Juriste de formation, j'ai toujours voulu rester généraliste pour ne jamais me fermer de porte, et j'ai décidé de continuer en école de commerce dans la même logique. La formation offre un réel plus en ce qu'elle compose 3 certifications : le master, le MTLCI et le titre de conseillère au commerce extérieur de la France. La formation est assurée par des professionnels et je pense que c'est le meilleur point du fait de leur approche des problématiques terrain. Les connaissances transmises sont pratiques ce qui permet une intégration plus rapide dans le monde du travail. Je suis juriste de formation en transport maritime et droit des affaires internationales. J'ai travaillé en tant que juriste et je me suis rendue compte que l'aspect pratique me manquait. J'ai décidé de rentrer en Master au sein de KEDGE. Par la suite j'ai travaillé chez un courtier maritime, me permettant de réaffirmer mes connaissances en droit des contrats tout en apprenant énormément sur la négociation internationale, les calculs de prix et transport et toutes les choses que nous ne pouvons vraiment comprendre qu'en y étant confronté. J'ai par la suite travaillé en tant que Key account manager en Suède au sein du leader mondial en terme de communication et marketing des organismes de formation. Rien à voir avec mon passé de juriste mais l'expérience a été enrichissante. De retour en France, j’ai rejoint le milieu du textile, autant du côté import (achat) qu'export (coordinatrice logistique). Je suis aujourd'hui responsable des market places pour une marque de mode haut de gamme. Cela concerne l'approvisionnement et la gestion des stocks, mais aussi les opérations commerciales ou de communication. KEDGE m'a permis d'ouvrir de nombreuses portes en me donnant les outils techniques pour intégrer tout type d'entreprise. Je peux aujourd'hui travailler n'importe où, en Europe comme en Asie où ailleurs. Le commerce international dépend de la logistique et le business d'une bonne chaîne d'approvisionnement. Ce milieu professionnel ne connait pas la crise et emploie énormément.

« Après un échange universitaire au Mexique dans le cadre du Master 1, j’ai eu l’opportunité de poursuivre la formation en alternance. Le Master apporte une solide formation aussi bien théorique que professionnelle dans les domaines du management de la supply chain, de la vente, du transport International et de la logistique. Cet enseignement m’a procuré une connaissance concrète du monde de l’entreprise et de ses problématiques liées au commerce international. Après avoir effectué mon alternance chez DB SCHENKER j’ai pu intégrer la CMA CGM en tant qu’Area Manager sur les lignes LATAM. »

Après deux premières années passées en master «Grande Ecole», j'ai souhaité donner une couleur fonctionnelle et opérationnelle claire à mon parcours académique. Axé sur le domaine de la Supply Chain, j'ai opté pour le Master Commerce International & Logistique qui a eu lieu en troisième année à KEDGE BS et m'a permis d'obtenir un double diplôme.
La qualité de l'enseignement dispensé par des conférenciers professionnels combinée à des études de cas difficiles et la richesse des profils fréquentant le MSc ont fait de cette année le tremplin idéal pour commencer ma carrière dans le domaine du conseil en chaîne d'approvisionnement. En plus de l'apprentissage des compétences, la dimension internationale donnée au programme est un élément clé pour faire face aux enjeux commerciaux actuels.

Le MSc International Trade & Logistics m’a offert toutes les compétences nécessaires pour atteindre mon objectif professionnel : développer nos PME françaises à l’international.
Titulaire d’un DUT Techniques de commercialisation, d’une L3 Langues étrangères appliquées et d’un M1 Commerce international et pays émergents, j’ai choisi de suivre ce M2 en alternance pour faire un premier pas vers le monde professionnel et me donner toutes les chances sur le marché du travail.
Au cours de l’alternance mise en place avec Kedge, j’ai occupé le poste d’Assistant Commercial Export au sein d’un groupe agroalimentaire danois spécialisé dans l’aliment piscicole. Mon rôle était la gestion administrative, du transport et des paiements de toutes les commandes émanant du continent Africain.
Aujourd’hui Responsable Export au sein de Gourdon, entreprise landaise de 60 salariés spécialisée dans la fabrication de remorques et citernes pour des applications agricoles, travaux publics et environnement, je participe quotidiennement à la promotion de notre marque sur la scène internationale : préparation de tous les outils nécessaires (brochures et manuels techniques…), rencontres avec les partenaires (commissionnaires de transport, banques, consultants…) et développement commercial (salons internationaux, déplacements à l’étranger…). Nous travaillons aujourd’hui en Europe du Nord et de l’Est, ainsi qu’en Afrique du Nord et Subsaharienne.
Cette formation m’a permis d’acquérir et de consolider des compétences en développement commercial et marketing / transport et logistique / droit des contrats et du transport / banque, finance et gestion du risque – toujours dans un contexte international.

Contrairement aux autres formations trop spécialisées, je souhaitais avoir une formation globalisante autant dans la logistique que la supply-chain et le transport. Juriste de formation, j'ai toujours voulu rester généraliste pour ne jamais me fermer de porte, et j'ai décidé de continuer en école de commerce dans la même logique. La formation offre un réel plus en ce qu'elle compose 3 certifications : le master, le MTLCI et le titre de conseillère au commerce extérieur de la France. La formation est assurée par des professionnels et je pense que c'est le meilleur point du fait de leur approche des problématiques terrain. Les connaissances transmises sont pratiques ce qui permet une intégration plus rapide dans le monde du travail. Je suis juriste de formation en transport maritime et droit des affaires internationales. J'ai travaillé en tant que juriste et je me suis rendue compte que l'aspect pratique me manquait. J'ai décidé de rentrer en Master au sein de KEDGE. Par la suite j'ai travaillé chez un courtier maritime, me permettant de réaffirmer mes connaissances en droit des contrats tout en apprenant énormément sur la négociation internationale, les calculs de prix et transport et toutes les choses que nous ne pouvons vraiment comprendre qu'en y étant confronté. J'ai par la suite travaillé en tant que Key account manager en Suède au sein du leader mondial en terme de communication et marketing des organismes de formation. Rien à voir avec mon passé de juriste mais l'expérience a été enrichissante. De retour en France, j’ai rejoint le milieu du textile, autant du côté import (achat) qu'export (coordinatrice logistique). Je suis aujourd'hui responsable des market places pour une marque de mode haut de gamme. Cela concerne l'approvisionnement et la gestion des stocks, mais aussi les opérations commerciales ou de communication. KEDGE m'a permis d'ouvrir de nombreuses portes en me donnant les outils techniques pour intégrer tout type d'entreprise. Je peux aujourd'hui travailler n'importe où, en Europe comme en Asie où ailleurs. Le commerce international dépend de la logistique et le business d'une bonne chaîne d'approvisionnement. Ce milieu professionnel ne connait pas la crise et emploie énormément.

Ce MSc de KEDGE Business School m’a ouvert un large éventail de possibilités de carrière. Il m’a ainsi permis de passer du monde du Yachting à celui du transport maritime. Cette formation est un vrai plus pour qui souhaite poursuivre une carrière dans le transport maritime et évoluer à l’international.

En achat, le produit est au cœur de la stratégie de l’entreprise avec de nouveaux enjeux d’innovation et de durabilité. Les notions de qualité et de prix sont les éléments fondamentaux de nos métiers d’acheteur, la troisième clé est le délai permettant la mise à disposition des marchandises.

A l’international, la logistique amont ou aval est donc une des composantes à part entière du prix final. C’est un levier d’optimisation et d’économie non négligeable nécessitant d’en maitriser tous les aspects notamment douaniers et juridiques. Cet apprentissage passe par la formation.

Dans un monde où 80% des échange internationaux se font par voies maritime c’est tout naturellement que j’ai choisi l’une des meilleures formations dans ce domaine « Le Msc International Trade & Logistics ». La formation est pragmatique et apporte le socle théorique nécessaire pour acquérir les bases d’expertise dans le domaine du transport international. C’est aussi l’accès à un réseau professionnel dynamique avec des programmes comme le mentoring qui m’a aiguillé vers la société que j’ai intégrée suite au Master.

Aujourd’hui, je suis responsable achats et logistique pour le groupe marseillais CIS, qui réalise 100 % de son chiffre d’affaires à l’international.

C’est d’ailleurs dans ce contexte que j’ai pu acquérir et consolider une expertise en Afrique, Moyen-Orient, Eurasie et Amérique du sud. J’anime une équipe internationale avec laquelle nous déployons et pilotons la stratégie achats sur plus d’une vingtaine de pays.

« Les conseillers du commerce extérieurs de la France sont fiers d’accompagner ce MSc considéré comme le leader français de la formation en commerce international avec sa spécificité maritime. Il accueille des étudiants venus du monde entier grâce notamment à sa formation assurée en majeure partie en anglais. Les intervenants CCEF sont tous des professionnels qui opèrent chaque jour sur les marchés internationaux. Ils ont grand plaisir à transmettre leur savoir faire aux futurs dirigeants du commerce international, du transport maritime et de la logistique pour lesquels Marseille occupe une place de premier choix.»

« Le programme est extrêmement complet et nous prépare à gérer, du début à la fin, des problématiques business, au niveau international. C’est dans cette objectif, qu’à la suite du programme réalisé en alternance, j’ai directement été recruté par Bourbon Offshore pour mener un projet de création et de commercialisation d’une nouvelle activité pour le groupe.

Les études de cas sont le véritable atout du programme. La dernière réalisée devant un jury de professionnels offre une très belle visibilité. Un an après sa réalisation, je rejoins le groupe PARLYM, l’une des nombreuses entreprises y ayant pris part, pour un poste en expatriation et plus largement un projet professionnel complet et attrayant. »

Les matières enseignées permettent de découvrir et d’approfondir les différents aspects du commerce international (transport, logistique, douanes, incoterms, marketing, droit etc…) et d’acquérir ainsi une vision globale. Les études de cas permettent de travailler sur de véritables problématiques d’entreprise et permettent d’apprendre à réfléchir de manière globale. L’étude de cas finale est très formatrice, et la présentation devant un jury composé de professionnels et d’anciens diplômés est non seulement une excellente expérience pour l’étudiant, mais aussi un contact privilégié avec le monde professionnel. Il y a 5 ans j’ai intégré le département logistique de la CMA CGM quelques semaines après la fin du M2. Je suis actuellement Manager logistique équipement spécialisés. Je suis responsable de l’ensemble des flux et stocks de conteneurs spéciaux dans le monde. C’est un métier très prenant qui exige une grande capacité d’adaptation car nous travaillons avec tous les pays du monde, il est ainsi très rare de s’ennuyer !

Après une École de Commerce et un VSNE de 18 mois au Gabon, j’ai voulu me remettre à niveau et obtenir un diplôme de 3éme cycle avant d’arriver dans le monde du travail. Le programme était aussi très réputé avec un réseau d’anciens très actif. Les étudiants sélectionnés avaient un background très divers (Grandes Ecoles de commerce ou d’ingénieur, militaires de Haut rang, professionnels…) et donc très enrichissant. Le point fort principal de la formation est qu’elle est dispensée en grande partie par des professionnels connus et reconnus qui apportent une connaissance très pratique/pragmatique, tout de suite opérationnelle. A ma sortie de la formation, malgré de très nombreuses et variées propositions (secteurs automobile, pet food, armement…) j’ai choisi de poursuivre dans l’activité où j’avais fait mon stage de fin d’étude et qui était aussi ma passion : le vin à l’international. 27 ans plus tard, j’y suis encore et en plus, dans la même société (Marrenon) qui m’a offert une évolution de carrière intéressante et des challenges sans cesse renouvelés. Directeur export dans le domaine des vins, je gère une équipe de 4 ADV (back office) plus une responsable marketing et 4 commerciaux avec lesquels je me partage le monde (nous exportons dans 45 pays). Chacun à sa zone tout en étant sous ma responsabilité. J’ai couvert la totalité des zones lors de ma carrière et suis actuellement en charge de l’Asie, la Russie et l’Allemagne.

Déjà diplômé du programme Cesemed, j’ai rejoint le Master afin de compléter mon profil, de me doter de compétences spécifiques qui feraient la différence afin de lancer ma carrière. Je connaissais le programme de par sa réputation, et je l’avais déjà envisagé comme suite à mon premier diplôme. Ce que je suis venu chercher dans ce programme, c’est la triple compétence dans des domaines clés de l’économie ; le commerce international, le transport et la logistique. Je cherchais à acquérir des compétences de spécialité, qui me permettraient de me faire remarquer, j'en garderai trois points majeurs. Tout d’abord, des compétences, sur des sujets précis, techniques, et importants sur plusieurs aspects des entreprises. Ensuite, grâce à ces compétences, une capacité d’adaptation à de nombreux métiers dans des domaines différents, allant de la négociation jusqu’à la gestion d’une chaîne de production. Et enfin, et sans doute celui que je n’attendais pas, j’ai pu développer au cours du programme un savoir-être ; c’est au cours de cette année que j’ai traversé la frontière entre l’étudiant et le professionnel. Les études de cas présentées devant des jurys de professionnels notamment permettent de réellement passer un cap, à la fois sur le plan des compétences et sur le plan personnel. Ayant eu l’occasion de travailler dans le secteur automobile lors de stages au cours de mes études, je m’y suis naturellement dirigé après le Master. Le programme doit normalement se conclure par un stage de fin d’études. L’école nous laissant une certaine liberté dans la construction de notre parcours, j’ai pris la décision de ne plus passer par la case stage, et j’ai donc centrer mes recherches sur un premier poste. J’ai décroché un contrat VIE (Volontariat International en Entreprise géré par l’organisme Business France) en Italie auprès d’un des plus grands groupes du secteur automobile. Au sein de la division logistique européenne, j’ai développé un programme d’automatisation de gestion des stocks de pièces détachées. Je suis aujourd’hui revenu en France à l’issu de mon contrat VIE, pour un poste en tant qu’agent de marques dans le sud de la France. Toujours au cœur de l’import-export, je suis en charge de la représentation, du développement, du transport et de l’organisation du business de mes clients (Carrelages et salles de bains haut de gamme) dans les régions PACA et Corse. Un M.Sc. comme le MTLCI est un bagage solide lorsque l’on cherche à s’insérer sur le marché du travail, notamment dans un contexte international. En effet, il donne des garanties au recruteur, tant au niveau des compétences acquises par l’étudiant au cours de son programme, mais également et surtout, point essentiel pour un recruteur, le programme nous donne une réelle capacité immédiate d’adaptation à un contexte professionnel, à la prise de responsabilité dans un milieu où les années d’expérience sont souvent requises. Un diplôme seul ne suffit pas, mais de réelles compétences métier, une ouverture d’esprit, et une capacité à s’inscrire immédiatement comme une ressource de qualité pour une entreprise sont des éléments qui font la différence dans un marché de l’emploi où la concurrence est immense.